[RESOLU] Désactivation onglets AdminProducts.php

[nolir]

Bonjour la communauté,

Que faut-il mettre concrètement dans le code stipulé ci-dessous pour ne plus afficher ses onglets ?

On me parle de commenter ce code afin qu'il ne s'affiche pas...

admin/tabs/AdminProducts.php

if ($obj->id)
echo ‘

3. ‘.$this->l(‘Combinations’).’

4. ‘.$this->l(‘Features’).’

5. ‘.$this->l(‘Customization’).’

6. ‘.$this->l(‘Discounts’).’

’;

Nolir

[BVince]

Salut,

si tu as besoin de le masquer pour tous les employés sauf un voici une solution :

if ($obj->id) {
       if(intval($cookie->id_employee) == $tonCodeEmployee) {
         echo '
3. '.$this->l('Combinations').'
4. '.$this->l('Features').'
5. '.$this->l('Customization').'
6. '.$this->l('Discounts').'';
       }
       echo '
7. '.$this->l('Attachments').'';
}

tu remplaces bien sûr le "$tonCodeEmployee" par ton id employé qui a le droit de visualiser ces onglets.

[nolir]

Bonjour BVince,

Quand tu parles de “$tonCodeEmployee” par ton id employé qui a le droit de visualiser ces onglets, tu parles de quoi ?

l'id employé serait dans mon cas l'id du master admin (moi en l'occurence). Il y aurait un autre administrateur (le client) qui lui n'aurait pas tous les onglets. cet id ressemble à quoi ? Tu peux me donner un exemple ?

Nolir

[BVince]

Je parle de l'id_employee qui est dans la table 'employee', cela permet à la personne de visualiser les onglets, si tu as besoin de mettre plusieurs personnes, tu peux faire de cette manière :

$tabEmployee[] = $idEmployee1;
$tabEmployee[] = $idEmployee2;
$tabEmployee[] = $idEmployee3;
etc...

if ($obj->id) {
       if(in_array(intval($cookie->id_employee), $tabEmployee)) {
         echo '
3. '.$this->l('Combinations').'
4. '.$this->l('Features').'
5. '.$this->l('Customization').'
6. '.$this->l('Discounts').'';
       }
       echo '
7. '.$this->l('Attachments').'';
} 

donc tu remplace $idEmployee1, $idEmployee2 et $idEmployee3 par tes "id_employee" autorisés....
PS : ne mets pas le "etc..." :cheese:

[nolir]

Re BVince,

C'est OK

Merci à toi,

Nolir